Ce livre était déjà écrit dans les étoiles. Il y a des histoires qu’on invente, et d’autres qu’on retrouve.

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Ce roman n’est pas né d’une idée soudaine, mais d’un appel. D’un murmure venu de loin, peut-être d’un autre temps. Depuis l’enfance, je porte en moi ce lien étrange entre les mondes, ce pressentiment que la mort n’est qu’un passage, que l’amour peut survivre au silence, et que certaines âmes sont liées bien au-delà de cette vie.

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J’ai mis longtemps à oser l’écrire. Et puis un jour, j’ai compris que ce n’était pas juste une histoire : c’était la mienne, la vôtre peut-être, ou celle de quelqu’un qu’on a aimé et qu’on n’a jamais vraiment perdu.

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Ce roman parle d’un pacte, d’une promesse, d’un royaume au-delà des frontières visibles. Il parle d’une femme, Julia, mais aussi de toutes les femmes qui cherchent à se souvenir. À aimer jusqu’à l’éternité.

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Et lorsque j’ai regardé mon propre ciel de naissance, j’ai compris : c’était là depuis toujours. Le Scorpion, gardien de la transformation. La Lune, messagère du ciel. L’appel à écrire, à transmettre, à guérir.

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Ce livre est une offrande. Un passage. Une lumière dans le noir. À ceux qui ont aimé. À ceux qui aiment encore. Et à ceux qui n’ont jamais cessé d’attendre.

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